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On vous explique : le projet de réforme des ALD et le risque financier pour les malades chroniques

  • Photo du rédacteur: Hartmann Sandra
    Hartmann Sandra
  • 1 déc.
  • 1 min de lecture

Patient seul, stressé, examinant des factures médicales et des documents administratifs, évoquant l'impact de la réforme des ALD et la hausse du reste à charge.
Les patients en ALD verront-ils leur prise par l'Assurance Maladie diminuer ?

Le projet de réforme des affections de longue durée (ALD) est au cœur des inquiétudes. Face au déficit de l’Assurance Maladie, le gouvernement vise des économies, mais la communauté des malades chroniques, dont ceux atteints de maladies rares, craint un alourdissement du reste à charge. Deux mesures phares suscitent la controverse :

  1. Restriction du 100% : le remboursement intégral serait recentré uniquement sur les soins directement liés à l'ALD (Source : Cap Retraite). Les autres frais médicaux repasseraient au taux habituel, touchant les patients en ALD qui ont souvent des besoins de soins multiples.

  2. Franchises doublées : augmentation des franchises médicales sur les médicaments, transports et actes paramédicaux (Source : Sénat). Même pour les soins pris en charge, cette hausse multipliée par le nombre d'actes devient un fardeau financier.


Inquiétudes des associations : les patients en ALD risquent de renoncer aux soins


ALD : la réforme qui inquiéte
La crainte de la diminution des remboursements inquiéte les patients en ALD.

Les associations de patients, comme France Assos Santé, dénoncent un « nouveau coup porté aux personnes malades » (Source : Public Sénat). Pour les 3 millions de Français concernés par des maladies rares, dont le syndrome de Cowden, le risque est triple :

  1. Augmentation du reste à charge.

  2. Incertitude administrative et complexité du parcours de soins.

  3. Renoncement aux soins pour raisons financières.

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